• Réponse à notre problématique

    Les 470 salariés du site de Petit-Couronne près de Rouen, placé en redressement judiciaire le 24 janvier 2012 à la suite de la faillite de sa maison-mère, le raffineur suise Petroplus, retiennent une nouvelle fois leur souffle.

    Histoire de la raffinerie

    Comment s'organisent les salariés de Petroplus face aux multipes reports de décisions du tribunal de commerce de Rouen?

    Tout d'abord nous allons voir les décision du Tribunal de commerce, pour enfin voir les manifestations.

    I) Il y a eu beauoup de rebondissements suite aux décisions du Tribunal de commerce, celui-ci jugeait les repreneurs non recevables, ce qui entraîna des arrêts de la raffienrie. Si le site venait à fermer, plus de 2000 personnes se retrouveraient sans travail, car 1 salarié travaillant à la raffinerie fait vivre 4 salariés à l'extérieur. Malheureusement, certaines personnes ne retrouveront pas de travail à cause d'une moyenne d'âge élévée, dont 48% des personnages ayant répondu à notre sondage. D'autres envisagent une nouvelle orientation professionnelle, 2% des personnes ayant répondu à notre sondage.

     

    II) Grâce aux manifestations, les salariés de Petropus ont réussi à faire des personnalités politiques qui créeront la loi dite "Petroplus". 90% des salariés répondant à notre sondage ont participé aux manifestations organisé par l'Intersyndicale constituée de la CGT, de la CFDT et de la CFECGC. L'Intersyndicale aménage les Assemblées Générales tous les jeudis midis, et elle se réunit tous les jours à 11h45 pour grouper toutes les informations requises.

    Schéma de la logique d'Albert Hirschman: 

    Réponse à notre problématique

    Selon la décision personnelle on décide, soit de quitter l'entreprise, soit de rester mais se taire ou parler pour protester passivement ou activement.

    Mais pour Mancur Olson l'action collective ne pourrait prendre corps si elle ne procurrait pas en plus des biens sélectifs, avec des avantages particuliers aux seul participants. L'organisation qui s'engage dans l'action collective parvient ainsi à limiter le risque de ticket gratuit de défection grâce à des sensations positives ou négatives, d'ordre matériel ou symbolique. La démarche d'Olson a présenté une véritable rupture en montrant qu'on ne pouvait pas faire abstraction de la rationalité et des motivations de l'acteur. Ce paradoxe permet de comprendre la difficulté de l'action collective.

    Ce combat dure depuis 14 mois, avec beauoup d'espoir et de déception mais toujours pas de décision finale. La raffinerie est encore sans nom.

     

    Annexes : Sondages ; Interview


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